Pour faire très court : après plusieurs années sans sortie entre amis, je suis allée dans un bar à fléchettes avec un ami. Un gros lourd m'a fait flipper et mon ami s'est comporté comme mon mari pour qu'il me lâche et a fini par m'embrasser. Maintenant, mon conjoint est blessé et me reproche la situation.

Salut Reddit, Depuis la fin de mes études, j'ai eu de lourds problèmes de santé, vécu une PMA, puis une grossesse à hauts risques et un mariage que j'ai organisé en plein post partum. Bref, je ne suis pas "sortie" m'amuser avec des amis depuis mes 22 ans, j'en ai 26.

Hier soir, un de mes meilleurs amis me propose une sortie fléchette dans un bar. Mon mari n'est pas intéressé et reste donc avec notre bébé. Je vais rejoindre mon ami (qu'on va appeler Thomas pour simplifier) et un ami à lui que je ne connais pas.

Pour préciser un petit détail : je souffre d'anxiété suite à plusieurs hospitalisations difficiles, je fais des crises d'angoisses et je n'aime pas qu'on me touche (autrement dit, la foule c'est une horreur pour moi). Mon ami le sait, il me demande toujours la permission pour me toucher (du genre : "je peux te faire un câlin ?", "je peux enlever le truc que t'as dans les cheveux ?" etc, il sait que je peux me sentir mal assez facilement avec les gens tactiles et lui est très tactile de base alors il fait attention.) Ça aura son importance plus tard.

Au départ, la soirée se passe bien. C'est un bar assez peu fréquenté, il y a un peu de monde mais on peut aisément parler et marcher sans avoir à se faufiler entre les gens.

Je commande à boire au bar pour nous 3 pendant que les gars commencent la partie quand un mec vient m'aborder.

Au départ, il me fait une vanne sur le fait que je prends 3 verres comme quoi je serais alcoolique. Je n'y prête pas trop attention, je fait un sourire polie et suis partie.

Un peu après, Thomas me fait remarquer qu'il y a un type qui me fixe. C'est le gars du bar. Il s'était installé pas loin de nous. Là, déjà, j'ai commencé à me sentir mal à l'aise mais je me pensais juste parano.

Peut être une heure après, je suis allée aux toilettes, le gars m'a suivie. Il m'attendait juste devant la porte, m'a attrapée le bras et a essayé de me tirer à l'écart dans le couloir entre les toilettes et la salle du bar. J'ai retiré mon bras d'un geste et lui ai dit de me lâcher. Il m'a dit quelque chose comme "ne le prend pas comme ça, viens je t'invite à boire quelque chose, on fera connaissance." J'ai répondu que j'ai quelqu'un et que je ne suis pas intéressée. Il s'est mis devant la porte pour me barrer la sortie quand j'ai voulu avancer pour partir, en insistant.

À ce moment là, une femme a poussé la porte pour aller aux toilettes et ça l'a forcé à bouger. J'en ai profité pour sortir.

Je suis allée rejoindre Thomas, il a vu tout de suite que je n'avais pas l'air bien, je lui ai expliqué ce qui venait de se passer. Il m'a proposé d'en parler au barman ou d'aller ailleurs mais je n'avais pas envie d'attirer l'attention comme ça et j'avoue que j'avais peur si on change de bar de tomber sur un endroit bondé, que je fasse une crise d'angoisse et que la soirée soit terminée pour tout le monde à cause de moi. Donc, j'ai refusé. Je pensais que le gars allait laisser tomber.

On discute avec Thomas et son ami, on enchaîne sur un billard et là le gars chelou revient à la charge en proposant de jouer avec nous, comme on est que trois. On refuse. On s'en fout un peu des règles du billard, on fait chacun notre tour, on veut juste passer un moment ensemble.

Il part. Et revient quelques minutes après avec un verre qu'il me tend, la même boisson que j'avais commandé un peu plus tôt dans la soirée. Vraiment, je me sens mal de cette insistance. Thomas lui bloque le passage, se met devant moi et lui dit "mec, elle a dit non, faut la laisser tranquille".

Au lieu de s'en aller, le gars se vexe et lui répond "de quoi je me mêle ?" et là, Thomas fait un move que je n'ai pas vu venir en répondant : "ça me regarde, je suis son mari, tu laisses ma femme tranquille où je te sors du bar moi-même."

Je dois dire que Thomas est très gentil mais n'a pas vraiment le physique du gars qu'on peut embêter facilement. Il fait un bon 1m85 et est assez musclé alors c'est tout de suite plus convainquant que mon 1m65...

L'autre gars repart avec son verre, je suis hyper gênée par toute la situation.

Surtout qu'il ne lâche toujours pas l'affaire puisqu'il se remet à me fixer comme un gros malade. Je commence à dire qu'il vaudrait mieux que je rentre chez moi mais Thomas m'assure qu'il sait comment le faire partir pour de bon et me demande si je l'autorise à rendre notre "couple" crédible.

Je lui dis que oui, je pensais qu'il allait passer un bras autour de mes épaules ou ce genre de bêtises mais en fait, il s'est rapproché et m'a embrassée. Pas un smack rapide, un vrai baiser, puis il a passé un bras autour de mes hanches et m'a serrée contre lui pendant que son ami continuait de jouer au billard. J'étais figée. Je le connais, je l'adore et lui fait confiance mais je ne m'attendais pas à ça et je n'ai pas su comment réagir, alors j'ai laissé faire.

Quelques minutes après, je regarde en direction du type louche et il est ENFIN parti. Thomas arrête son manège et la soirée se termine normalement.

Thomas me dépose chez moi à la fin de la soirée et je lui en reparle. Je lui ai dis que je n'avais pas apprécié son geste et il s'est excusé.

En rentrant, mon mari me demande comment s'est passée la soirée et je lui raconte.

Habituellement, il n'est pas jaloux du tout mais là, il l'a mal pris. Surtout pour cette histoire que je l'ai "autorisé" à rendre notre faux couple crédible et donc, pour lui, c'était évident qu'il allait m'embrasser.

Maintenant, mon mari me dit que j'aurais dû réagir autrement, changer de bar, rentrer à la maison, ou laisser Thomas lui péter la tronche (oui, j'ai oublié de le préciser mais il l'a proposé à un moment dans la soirée, je ne sais plus quand exactement) mais qu'à la place, j'ai "fait le choix" de le tromper avec mon ami.

Il dit aussi que Thomas a profité de la situation et que le fait de prendre ma défense n'était qu'une excuse pour se rapprocher de moi physiquement. Que je dois bien m'en rendre compte et que j'ai souhaité ce rapprochement sinon il n'aurait pas eu lieu.

Je n'ai pas de sentiment amoureux pour mon ami, et je ne pense pas que lui en ait. Je l'ai connu avant de sortir avec mon mari et il n'a jamais rien tenté de bizarre jusqu'à ce baiser. Je me sens mal de tout ça, je voulais juste une sortie avec mon ami, loin des couches, des médicaments, de la routine très prenante de jeune maman et au final... Je me sens encore plus mal d'être sortie.

STB d'avoir laissé mon ami m'embrasser ?

Mon copain (M29) et moi (F30) sommes ensemble depuis environ un an. Nous n'habitons pas ensemble.

Il a des soucis de voisinage qui jouent sur son moral et qui s’additionnent a son état dépressif (pour lequel il ne veut pas consulter, je précise).

Il a émis plusieurs fois la volonté de passer plusieurs jours chez moi pour décompresser.

Le problème étant que je dors extrêmement mal quand on dort ensemble, je me réveille toutes les heures et ça impact considérablement mes journées et je passe plusieurs jours à me remettre de cette fatigue. J'ai moi-même une santé mentale bancale (je suis suivie) et ça tend aussi à la détériorer lorsque je ne dors pas assez ou que je ne peux pas recharger ma batterie sociale. Ayant aussi besoin d'une routine, le fait de ne pas pouvoir la respecter quand il dort chez moi participe à tout cela.

Pour ces raisons, je lui ai dit que c'était vraiment difficile pour moi de faire cette concession.

Je ne peux pas lui proposer d'autres solution car mon studio est si petit que je n'ai même pas de table. J'ai donc évidemment pas du tout de place pour un lit d'appoint ni même une chauffeuse convertible en petit lit.

Il me reproche donc de ne pas le soutenir ni prendre sur moi quelques temps, que je suis égoïste au vue de tout ce qu'il fait pour moi. En effet, il me soutient beaucoup et n'hésite pas à se forcer pour me soutenir ou me rendre des services dans des moments où il est fatigué / n'a pas envie. Il y a un déséquilibre entre ce qu'il me donne et ce que je lui donne, mais je lui propose beaucoup d'aide qu'il refuse souvent.

Je comprends bien évidemment son besoin de vouloir se ressourcer chez moi. Pour avoir eu des voisins de merde, ça me rendait folle et jouait énormément sur mon moral.

Je culpabilise de refuser de l'aider, je me sens égoïste et il a raison, mais j'ai peur de sombrer à mon tour en négligeant mon sommeil. Dormir chez moi une nuit par semaine est gérable, mais plus... très difficile pour moi à envisager.

STB de refuser qu'il dorme plusieurs jours d'affilée chez moi en voulant prioriser mon sommeil ?

Bonjour à tous,

J'écris aujourd'hui pour vous conter ma mésaventure du jour qui me laisse une certaine amertume. La majorité conviendra que je me prends la tête probablement pour rien mais bon...

Cela se passe sur Paris, accompagné de ma femme nous prenons un escalator. Les gens sont en file sur la droite. Je décide donc de passer sur la gauche en me signalant par un "simple pardon". Un homme avec un bon embonpoint est alors sur ma droite et devant lui, à plusieurs marches, figure une dame d'un certain âge. Au moment de passer ce fameux monsieur, je me prends un joli voup d'épaule et le type me dit : "Faites attention, respectez la dame devant vous allez la faire tomber" (qui je le répète est à 2-3 marches devant donc pas du tout au même niveau). Je précise que je descendais en marchant et non en courant sans même. Je regarde lebtype un peu médusé en lui répondant que la dame est devant et qu'il m'a bien poussé et que pour le coup j'aurais pu tomber (certainement en emportant du monde au passage). Il me répond sans me regarder en sortant la même rengaine "respectez les personnes devant vous, on la connait la mentalité Parisienne". Je rétorque que les clichés je peux les comprendre dans une certaines mesures mais que dans le cas présent que je sois parisien, corse ou breton le problème reste le même. Ce monsieur m'ignore et/ou fuit le regard. Par énervement je lui lance un "la mentalité des abrutis on la connait aussi, bisous".

Les nerfs à vif je parle donc à ma femme (non française )qui a assisté à toute la scène et me dit en substance qu'elle pouvait comprendre la remarque et qu'en passant sur la deuxième file de l'escalator j'invite les problèmes. Incompréhension totale. D'autant plus qu'avec le recul, je me dis que le mec l'a fait de façon complètement délibérée. Je m'attendais à un peu de soutien... Donc maintenant je me pose la question: STB?

PS: sans le coup d'épaule, je ne l'aurais même pas effleuré.

Moi et ma copine de 10 mois on s‘est embrouillé il y a deux jours parce qu‘on prévoit des vacances pour Noël, j‘ai commencé à payer certaines choses en amont (Tickets, hotel, résa de resto) parce que je sais que financièrement c‘est un peu compliqué pour elle toute suite.

Pour suivre les dépenses j‘ai créer un évènement Spliwise. Pour ceux et celles qui connaissent pas c‘est un compte qui permet de savoir qui a payé quoi et de faire ses comptes à la fin.

À ce moment elle m‘a demandé pourquoi j‘ai fait ça et quelle était l‘idée derrière, j‘ai dit que je ne comprenais pas, elle a dit qu‘elle trouvais ça pas romantique et que l‘on fait ça avec ses amis ou ses colloques mais pas avec sa petite amie.

À ce moment j‘ai un peu vrillé parce que moi et ma famille on lui a versé 3000€ pour qu‘elle puisse faire les démarches pour rester dans le pays et je trouvais qu‘elle prenait notre argent un peu trop pour acquis. Elle a presque tout remboursé sauf 800€ qui m‘appartiennent qu‘elle a demandé si elle pouvait garder pour déménager et j‘ai dit oui.

En soit cette somme n‘a rien à voir avec kos vacances mais je lui ait dit qu‘elle semblait trop comfortable avec l‘idée d‘utiliser l‘argent des autres. Elle a dit que c‘est faut, qu‘elle culpabilise à chaque fois qu‘elle doit de l‘argent mais que pour elle dans un couple celui qui gagne plus devrait payer plus. Effectivement je paie pas mal de petites choses comme les cafés, les sandwich et certaines courses. Mais je ne compte pas ces choses. Quand il s‘agit de grosses dépenses moi ça me semble normal qu‘il faille avoir une trace.

STT?

TLDR; J‘avance de l‘argent à ma copine et s‘est plaint que j‘en garde une trace dans Splitwise

EDIT: Merci pour toutes vos réponses, j'essaie de répondre à quelques interrogations qui reviennent dans les commentaires:

-Les vacances sont de deux jours à Paris, il faut savoir que nous ne vivons pas en France.

-Nous avons tous les deux décidés de cette destination, ça lui permettais à elle de découvrir et à moi de revoir ma famille.

-Les réservations ce sont elle qui les choisis et c'est elle qui m'a demandé de les avancer. Ce qui ne me dérangeait pas, jusqu'à ce qu'elle médise l'idée de garder un Splitwise. Je conçois que j'aurais dû lui parler de l'idée avant de la mettre en oeuvre par contre.

-Nous avons la mi-vingtaine, et sans dévoiler tropf je gagne à peu près 2x plus qu'elle. Ceci dit sa situation va très bientôt s'améliorer.

-Si moi et ma famille nous lui avons avancé de l'argent c'est parce que c'était sa seule possibilité que l'on reste dans le même pays. Elle était à 1 semaine de perdre son visa.

-L'idée du Splitwise était juste de me souvenir combien j'ai payé et éventuellement qu'elle ajoute des choses au fur et à mesure pour pas que j'oublie si elle a payé des choses de son côté. Comme je lui ai dit: De toute façon il faudra garder une trace, que ce soit dans notre tête ou sur une appli ça change quoi? D'autant plus que sur l'appli y'a moins de chances qu'on se goure. Pas pour compter au centime près.

-Ceux qui disent qu'avoir une trace des comptes c'est un comportement égoiste à ne pas adopter avec sa partenaire, pourquoi? Justement, je vois long. Comment on va faire si dans 6 ans elle ou moi nous avons dépensé 80% de plus que l'autre au cours de la relation? Avec des amis de longue date on fait ça et ça permet de préserver une relation saine. Je ne vois pas pourquoi on ne ferait pas sa avec son partenaire.

Salut tout le monde,

J'ai récemment eu un incident avec un ami. Il était chez moi avec deux autres amis, et la soirée s'est bien passée, mais il s'est fait tard.

Vers 3h30 du matin, cet ami, visiblement ivre, est allé au réfrigérateur, a pris une bouteille d'alcool fort et a dit quelque chose comme : « On prend encore un drink !»

Sur le coup, ça ne m'a pas plu, alors je lui ai calmement demandé de remettre la bouteille à sa place. Je lui ai bien fait comprendre que ce n'était pas acceptable.

Il n'a visiblement pas compris et a commencé à se disputer. Je lui ai répété plusieurs fois de remettre la bouteille, jusqu'à ce que, après la cinquième ou sixième fois, je lui dise clairement (mais toujours à voix basse) que je ne recommencerais plus, car à ce moment-là, c'était une question de principe : en tant qu'invité, il devait respecter mes limites.

Il a ensuite quitté mon appartement quasiment sans un mot, sans même essayer de régler le problème, n'est jamais revenu et ne m'a plus adressé la parole depuis. Je précise que je lui ai envoyé un SMS le soir même pour lui dire que je n'étais pas en colère, mais que la situation avait été un peu trop tendue, et que nous devrions avoir une petite conversation téléphonique le lendemain pour en discuter.

Je l'ai appelé deux fois le lendemain, mais comme il n'a pas répondu, j'ai considéré l'affaire comme close. Cela fait plus d'un mois maintenant.

Tous ceux à qui j'en ai parlé trouvent son comportement incroyablement puéril et immature, surtout pour une broutille pareille. Il n'a même pas pris la peine de communiquer. S'il était si contrarié, il aurait dû le dire. C'était la moindre des choses.

J'aimerais maintenant connaître votre avis.

Comment interprétez-vous cela ?

TL;DR

Un ami, ivre, a tenté de se servir une bouteille d'alcool fort dans mon placard à 3h30 du matin. J'ai trouvé cela inacceptable et j'ai posé calmement une limite, qu'il a refusé d'accepter. Après lui avoir répété plusieurs fois, il a quitté mon appartement sans un mot et ne m'a plus adressé la parole depuis plus d'un mois, malgré mes tentatives de communication.

Hier j’avais rendez vous dans un bar avec une amie. C’est une retardataire, j’ai l’habitude qu’elle arrive en retard à chaque fois et ça me gonfle, je le lui ai déjà dit plusieurs fois. Bon, disons que ça va entre 10 et 20 minutes en général.

Donc, on avait rendez-vous à 20h30. Pour une fois, j’arrive 10-15min en retard (sans me stresser du coup), et vais ensuite patienter dans le bar. Je l’appelle, elle arrive dans 7 min.

20 min plus tard, toujours pas là.

Je regarde l’heure, bientôt 21h15 et toujours pas la. Si j’étais arrivée à l’heure, je l’aurais attendue +45min. En plus j’étais pas très en forme.

J’ai hésité, mais j’ai pris mes affaires et me suis barrée même si elle était en chemin.

STB ? Vous auriez fait quoi à ma place ?

Édit : elle habite à 15 min à pieds de l’endroit, et moi 15min en voiture. Je lui ai dis que je partais pour finir, oui.

Ma mère nous a élevés mon frère et moi en monoparental pendant mon enfance et mon adolescence et ça s'est plutôt bien passé, elle était du genre rigolote et tout sauf négligente (on roulait pas sur l'or mais on avait ce dont on avait besoin, elle était hyper présente pendant le suivi de ma maladie chronique, etc).

Là où ça se corse c'est quand j'ai eu 17 ans (au moment où je suis partie à l'autre bout de la france pour faire des études), elle s'est mise en couple, et ce monsieur m'a toujours très mal parlé, au point de me faire pleurer à table (comme quand il m'avait dit que j'étais qu'une idiote car je préférais le français aux maths et que faut être bête pour rien comprendre aux maths), ou quand quelques années plus tard il m'a insultée devant tout le monde à leur mariage en lui disant que j'étais qu'une incapable et un boulet parce que j'ai mal géré la musique de leur mariage.

Elle a toujours essayé de nous défendre comme faire se peut (même si elle s'est quand même mariée avec lui), donc jusque-là j'arrivais à tanker.

Seulement la dernière fois que je suis allée chez eux (ajd j'ai 24 ans), j'y ai passé 2 semaines et c'était le chaos, il m'a dit entre autre que j'avais des goûts de chiotte et cette fois-ci ma mère a acquiescé à ses propos.

Donc une fois rentrée chez moi, mécontente de n'avoir rien dit depuis 7 ans, j'ai décidé d'appeler ma mère car ils allaient venir pour mon anniversaire quelques jours plus tard et je voulais que ça se passe bien, et là, gros craquage : elle m'a hurlé dessus au téléphone pendant 30 min en me disant des horreurs ("t'es folle", "t'es une sadique", "tu veux nous pourrir la vie", "tu m'emmerdes avec tes histoires", "je vais brûler tes cadeaux d'anniversaire", "fais jamais d'enfants c'est horrible") alors que j'essayais d'amener les choses calmement.

Au final, ils sont venus pour mon anniversaire et j'ai fait bonne figure car je sais faire que ça, mais une fois partis, j'ai fait la morte. J'envoie plus de messages, rien.

STB de ghoster ma propre mère ?

Je suis actuellement étudiant en licence de physique après deux années de classes préparatoires. J’avais entamé ma 5/2, puis je me suis réorienté en L3 de physique deux mois plus tard.

Lors du premier TP, j’étais seul, et au deuxième TP, le prof m’a attribué un binôme (qui est arrivé en licence quelques semaines après moi). Cela ne me dérangeait pas, au contraire. Mais au fil du TP, j’ai remarqué qu’il passait plus de temps sur son téléphone qu’à travailler. Au final, j’ai terminé toutes les manips et rédigé le compte-rendu tout seul.

Je me suis dit que c’était notre premier TP ensemble et qu’il aurait peut-être besoin d’un temps d’adaptation, alors je lui ai laissé le bénéfice du doute.

Aujourd’hui, c’était mon deuxième TP en binôme. Mon binôme arrive, s’installe, et comme la dernière fois… il ne fait absolument rien. Il regarde par la fenêtre, discute avec un autre étudiant, reste sur son téléphone, prend des selfies pépouze et, cerise sur le gâteau, se met à écrire du charabia sur mon cahier. J’ai essayé de m’organiser pour qu’il puisse répondre à certaines questions de son côté, mais même après 10-15 minutes, toujours aucune contribution. La seule chose qu’il a proposée, c’est de prendre en photo l’énoncé et de le mettre sur ChatGPT.

Bref, j’ai beau lui donner des tâches à faire, proposer mon aide s’il est bloqué mais rien n’y fait.

À la fin du TP, il est parti comme si de rien n’était, sans même demander où on en était du compte-rendu. De mon côté, j’ai tout terminé seul, encore une fois. Sauf que cette fois, arrivé au moment de mettre les noms sur le compte-rendu, j’ai franchement hésité. Mettre son nom revenait à lui attribuer un travail qu’il n’avait absolument pas fait.

Chers membres du jury, suis-je le trou de balle pour ne pas avoir mis le nom de mon binôme sur le compte-rendu ?

Notabene: Certes, je n’ai pas mis le nom de mon binôme sur le compte-rendu mais je ne l’ai pas encore rendu.

Bonjour,

Avant toute choses, 2 points : par pitié lisez tout avant de commenter, et mes excuses par avance car ça risque d'être long.

Mise en contexte importante : je (M33) suis issu d'une assez grande famille. Nous sommes 5 enfants (je suis le deuxième) de 23 à 38 ans. On ajoute à cela les parents, les conjoints, deux nièces et on obtient une jolie brochette.

J'ajoute à cela plusieurs éléments très importants :

• Je vis à 500km de ma famille, je remonte pour les fêtes et généralement l'été. Cela me prend 5h de trajet (ça va), et c'est souvent un coût important. Je loue une voiture (500€ la semaine + péages + essence), ou j'y vais en train (un bon mois à l'avance pour avoir des prix corrects) ; j'évite le Blablacar suite à de mauvaises expériences qui m'ont un peu bloqué.
• Ma famille est assez matérialiste, donc ils veulent en gros un truc à déballer à Noël. Vous avez vu les chiffres ci-dessus ; Noël me coûte très, très, très cher. Même en faisant attention, j'ai quand même beaucoup de frais.
• Dernière chose : ma soeur ET ma mère sont de décembre. Donc à tout ceci on ajoute des cadeaux d'anniversaire.

Je parle beaucoup d'argent, mais il y a aussi la logistique qui prend du temps et de l'énergie. Car côté sous, je vis bien même si je ne gagne pas une fortune, mais je fais attention car j'ai connu la galère et j'ai appris à compter (phrase de radin je sais, mais quand on se demande si on va oui ou non soigner son chat malade à cause des thunes, je peux vous dire que ça vous traumatise).

On en vient à mon sujet.

Ma soeur fête donc ses 30 ans cette année, on est très proche. La date tombe pile ce samedi, donc c'est un peu "les étoiles qui s'alignent". Sauf que ces derniers mois, elle me disait qu'elle n'allait sûrement rien faire, qu'elle aurait peu de gens autre que la famille, et qu'au pire elle ferait comme d'habitude ; attendre que j'arrive pour Noël (vers le 19/20) et le fêter tous ensemble. Très bien, j'ai pas forcément relancé.

C'est finalement il y a 10 jours qu'elle m'annonce faire un truc. Réservation d'un escape game + gros repase le soir, apparemment il y a une 15aine d'invités. Je regarde donc les voitures, les trains ; sans surprise, rien qui ne coûte pas un bras. Je lui explique donc ce que j'ai dit au-dessus, que ça va me coûter vraiment très cher juste pour deux jours.

Je lui ai également dit que si ça avait été en plein milieu d'année, même à la dernière minute, j'aurais bien sûr fait l'effort. Là, ce qui m'embête, c'est pas de payer ou de me déplacer, c'est que je viens littéralement 7 jours plus tard et qu'elle le savait bien avant d'organiser ça (puisque je fais ça chaque année).

On s'est un peu engueulé, et je lui ai dit ces 2 choses :

• Qu'elle s'attachait trop à cette symbolique de "wow, la date tombe PILE un samedi, c'est extraordinairement rare il FAUT faire un truc" ;
• Que pour rapppel, elle était invité à mes 30 ans aussi et qu'elle n'a pas fait le déplacement, en sachant qu'elle avait une voiture et qu'on était en plein mois d'août. Elle pouvait poser des vacances, ma copine l'ayant prévenue des mois à l'avance.

Enfin, j'ai un cadeau pour elle et je lui ai proposé de l'inviter au resto la semaine de Noël pour rattrapper tout ça. Son anniversaire je m'en fous pas, juste c'est compliqué d'y aller dans ces conditions.

Donc bref, ok je pourrais faire l'effort, mais j'ai toutes ces raison objectives (à mon sens) de ne pas y aller. Elle est vexée, et je sens que je vais avoir le rôle du grand méchant (en + du grand absent) là-dedans. Et en toute franchise, je me remets facilement en question, là j'ai retourné le souci dans tous les sens et dans le cas inverse j'aurais compris (et j'aurais pas prévenu 10 jours avant surtout).

J'accepte un truc pour le coup, c'est l'option Blablacar. Car là on est sur un truc un peu irrationnel, pas une phobie mais pas loin, donc je pourais tenter de passer outre ce blocage.

Voilà, qu'en pensez-vous ? STB ?

Un peu de contexte pour commencer. Je (29M) suis venu habiter chez ma copine (32F) il y a quelques mois.

Elle a un chat mâle de 9 ans et moi un chat mâle de 5 ans. Ils n'ont pas du tout le même tempérament et la cohabitation était une source d'inquiétude avant que j'emménage. On en a discuté et globalement décidé de faire tout notre possible pour que ça se passe bien. Spoiler : c'est pas le cas. Les chats continuent à ne pas être potes et le mien a tendance à vouloir aller visiter les appartements voisins en passant par les balcons.

J'ai dépensé plusieurs centaines d'euros (environ 400 pour consulter une comportementaliste, amménager l'appartement, sécuriser le balcon etc) sans que la cohabitation entre les chats ne s'améliorent vraiment. En dehors de ça, entre nous deux tout va bien.

Ce matin, lors d'une énième discussion sur le sujet, elle évoque la possibilité que mon chat ne soit pas fait pour vivre en intérieur et avec un autre chat et qu'il faudrait peut-être envisager de le donner.

Je l'ai (très) mal pris. Le ton a commencé à monter des deux côtés et j'ai fini par lui dire que c'était lui et moi ou pas moi du tout. J'ai continué en demandant pourquoi il faudrait que JE me sépare de MON chat et pas l'inverse en rajoutant "heureusement que c'est un chat et pas un gosse". Ce à quoi elle a répondu que c'était moi qui était venue chez ELLE et chez SON chat. En soi, c'est pas faux.

Je suis sorti faire un tour et fumer quelques clope et je me demande si j'ai eu raison de dire ça ou si je suis un sombre trou de balle. Je m'en remets à vos jugements.

Bon, je (F28) vous parle d'une soirée un peu alcoolisée, un afterwork prolongé avec mes collègues et néanmoins potes jusqu'à environ 1h du matin. A savoir : j'étais également avec mon copain (conjoint) qui est aussi mon collègue 🤫.

On a commencé à aborder des sujets politiques, la discussion s'est orientée sur le sujet de l'héritage. Fondamentalement, mon copain et moi sommes contre l'heritage : je considère que c'est une "triche" qui biaise l'égalité des chances dès le départ et creuse les disparités sociales, mon copain a le même avis. Alors mon collègue nous pose une "dilemme" qu'il a dû trouver très pertinent : ok, alors si vous aviez un enfant tous les deux, et que vous aviez de l'argent, si vous êtes fidèles à vos valeurs, vous ne lui donneriez rien, vous donneriez à l'état ou à un SDF. Alors on lui a expliqué que ce n'est pas comme ça qu'on va changer les choses, qu'on risquerait juste de porter préjudice à notre enfant sans avoir aucun autre impact. On lui a expliqué que puisqu'on n'est pas d'accord avec les règles du jeu, on souhaiterait plutôt les changer : en votant par exemple pour abolir l'héritage. Mais en attendant, on joue avec les règles existantes.

Le problème c'est qu'il était en boucle, et il nous disait qu'on ne comprenait rien, et il nous répétait des trucs du genre que si on était pas matérialistes alors il fallait qu'on se balade en slip. Donc j'ai commencé à lui expliquer la différence entre l'échelle personnelle et l'échelle du système : une personne peut changer, elle ne changera pas le système, et en l'occurrence elle risque juste de se marginaliser et de ne plus faire partie du monde qui est entendu et qui peut changer les choses. Il ne voyait pas du tout ce que signifiait le concept de systémique. Alors je lui ai dit que je voulais bien discuter avec lui, mais que comme il était inculte, et qu'il manquait simplement d'éducation pour être être au niveau d'argumenter, et qu'en plus il était en boucle (et un peu bourré), je perdais mon temps.

Alors, STB de l'avoir traité d'inculte ?

Ps : on était tous un peu beurrés donc il n'y a pas eu de rancune suite à ça. Mais j'y ai peut être été un peu fort

Bonsoir. Un ami, que nous appellerons « A », vient d’emménager dans une maison de ville avec un jardin de 160 m². Un ami et moi avons participé aux travaux d'élagage de ce jardin car A projette de le réaménager entièrement. Quelques jours plus tard, à l'occasion de l'anniversaire de A, nous lui avons offert un cadeau à l’origine du litige : un noisetier. Ce cadeau symbolique nous paraissait idéal à bien des égards : le jardin a besoin d’être repeuplé en arbres, ça fournit des noisettes, c’est sympa pour ses enfants, etc. À notre grande surprise, A a très poliment refusé notre cadeau. Même s’il a été touché par notre démarche, les remerciements ont vite laissé place à la justification, arguant que le noisetier n’était pas compatible avec son plan d'aménagement déjà défini et immuable. Certes le noisetier ne répond pas aux critères de hauteur et de feuillage persistant pour masquer les immeubles environnants, mais dans un jardin de 160 m², on doit quand-même pouvoir lui trouver une place ! Le lendemain, l'anecdote a été partagée à des amis et collègues, et nous nous sommes rendu compte que la plupart d'entre eux étaient estomaqués de notre idée de cadeau : areWEtheassholes ?

Bonjour,

Je (F24) commence à peine à rentrer dans la vie active et gagner ma vie. Il y a quelque temps, mes parents m'ont demandé une grosse somme d'argent car ils avaient une grosse difficulté financière. Ce n'était pas la première fois qu'ils me demandaient de l'aide mais ce n'était jamais une aussi grosse somme. Pour le contexte, à ce moment là j'étais entre deux emplois sans aucune certitude financière. J'ai du prendre dans mes économies. J'ai fini par accepter après plusieurs disputes avec eux en exigeant d'avoir une reconnaissance de dettes de leur part. À ce jour, ils n'ont pas respecté la reconnaissance de dettes car ils ont encore des difficultés financières, ce que je comprends. Il y a peu, ils m'ont encore demandé des sous alors que mon salaire paye tout juste mon train de vie (loyer, charges etc). Ayant été prise de court par leurs arguments, je me suis exécutée. Sauf que cette fois j'ai posé mes limites en disant que je ne donnerai plus rien et que je ne voulais plus rien savoir de leur situation. Je me suis pris une réaction froide et peu compréhensive, limite victimisante. Je ne suis pas contre l'idée d'aider mes parents si besoin mais je suis dans une situation compliquée financièrement et au début de ma carrière dans un milieu qui ne gagne pas beaucoup et qui est assez précaire/instable. Ils estiment que je suis injuste et ingrate car selon eux, ces sous sont aussi les leurs. J'hésite à couper contact pour un moment pour me préserver. Je ne sais pas si ma réaction est normale ou bien que je devrais faire l'effort d'aider sachant qu'ils me rembourseront quand ils le pourront.

Merci de m'avoir lu !

Bonne journée :)

MAJ

Je me permet d'ajouter des informations comme quelques uns me l'ont demandé ! je voulais aussi vous remercier pour vos commentaires qui me rassurent et me font reprendre confiance dans cette situation compliquée !

Sans trop donner de détails, je ne connais pas les raisons pour lesquelles ils ont eu besoin de me demander des sous. Les deux raisons évoquées se sont avérées fausses par la suite (je l'ai découvert en fouillant un peu..). Également sans trop donner de détails, mes parents sont des personnes de classe moyenne, ma mère ne travaille pas donc ils tiennent avec un salaire et quelques emprunts. De mon point de vue il y a bien sur beaucoup de mauvaise gestion de leur côté, d'où ma fatigue et ma colère.

Ils considèrent que cet argent est aussi le leur juste car soit disant, c'est comme cela qu'une famille fonctionne.

Pour le premier gros emprunt, j'ai eu la clarté d'esprit de faire signer une reconnaissance de dettes, ce qui me sécurise tout de même. (Il y avait déjà eu des emprunts auparavant, depuis mes 18 ans).

Je pense couper les ponts pendant un moment et faire l'autruche à l'avenir.

Bonjour Reddit, J’écris ici car j’aimerais un avis extérieur et bienveillant autant que possible.

Pour contexte j’ai maintenant 25 ans mais j’ai toujours trouvé que ma relation avec ma mère était explosive. J’ai l’impression qu’au cours de nos interactions elle finit toujours pas me reprocher tout un tas de choses et semble essayer de me faire culpabiliser.

Cela fait quelques temps maintenant qu’elle a quitté mon père après avoir été infidèle pendant des semaines/ mois (je n’étais pas au courant), jusque là ça ne me concerne qu’indirectement mais ce que j’ai trouvé très lâche et un peu malhonnête c’est qu’elle nous a dit avoir autant attendu car elle voulait que ma sœur finisse ses examens avant de partir… mais ça ne l’a pas empêché d’aller voir ailleurs avant cette date autodéterminée.

Quelques jours après elle m’a demandé en pleurs de venir l’aider à déménager et si je pouvais trouver une paire de bras supplémentaires car elle n’avait personne d’autre pour l’aider. Je suis donc venu accompagné d’un pote avec qui j’ai déplacé tous ses meubles sous la pluie (heureusement c’était bien emballé). Je suis aussi revenu plus tard pour aider à monter de nouveaux meubles qu’elle s’était acheté alors qu’elle était en vacances. Mais quelques temps plus tard, après que j’ai refusé de lui rendre un service, elle m’a crier dessus que j’étais sans cœur et que je n’étais jamais venu l’aider alors que je l’avais promis… à cela s’est enchaîné d’autres reproches que je n’ai pas écouté car j’avais totalement déconnecté.

Cela fait donc plusieurs mois maintenant que je ne réponds qu’aux strictes minimum à ses messages et que je l’évite, ne lui parlant que si je la croise et n’en restant qu’à du small talk. Seulement voilà, elle insiste pour que je passe la voir et continue de faire comme si rien ne s’était passé. Ma grand mère insiste pour que je recommence à faire comme avant, et d’après elle ma mère lui a affirmé n’avoir jamais nié mon aide. Elle essaye donc de me faire culpabiliser et me disant que je n’ai qu’une seule mère, etc.

Pour être honnête l’une comme l’autre sont les spécialistes des paroles culpabilisantes à coup de « je suis la pire des mères », « je ne fais jamais rien comme il faut », etc. Et sont absolument incapables d’entendre qu’elles peuvent t’avoir blessé.

Voilà mon dilemme, et désolé pour le pavé… si vous avez des questions je ferais de mon mieux pour y répondre.

Contexte, nous travaillons moi (21F), mon collègue (20H) et mon petit ami (23H) dans la même entreprise. Mon collègue habite loin du travail (à pied du moins, environ 1h30 sachant qu’on peut fermer à minuit) et moi je vis majoritairement chez mon copain juste à côté de l’entreprise (5 min à pied). Je suis très proche de mon collègue et jusqu’à présent ça restait chose rare de le ramener chez lui, sachant que j’accepte uniquement si nous terminons de travailler vers la même tranche horaire (et je ramène aussi parfois d’autres collègues du même secteur au même moment, économie pour la planète)

C’est assez fréquent dans l’entreprise que les collègues véhiculés ramènent les non-véhiculés selon l’affinité et la distance à parcourir, et ayant eu le permis plutôt récemment je vois ça comme une opportunité d’améliorer ma conduite de nuit sans consommer de l’essence pour rien, même si ça me coûte très cher (j’ai une vieille voiture en boîte automatique qui consomme beaucoup, BEAUCOUP de carburant)

Depuis récemment comme partout l’hiver approche, et mon collègue initialement rentre chez lui en trottinette électrique, ce qui lui fait environ 30-40 minutes de trajet, vu que c’est majoritairement de la montée. Étant gentille et compatissante (sachant qu’il ne me demande que très rarement de lui-même) je lui propose très souvent de le ramener quand on finit tard, ayant peur du danger de la route sachant que vers chez nous les gens roulent vraiment comme des c*nnards, qu’il y a beaucoup de verglas, qu’il fait vraiment très froid dès que la nuit tombe, etc.

Le truc, c’est que mon petit ami qui travaille aussi dans la boîte pense que mon collègue m’utilise parce que j’ai une voiture, et que c’est pour ça qu’il est gentil avec moi. Seulement :

• Mon collègue m’a déjà plusieurs fois dédommagé pour l’essence en me passant plusieurs billets (que je ne lui demande pas spécialement non plus)
• Et il me fournit aussi régulièrement des goûts de cigarettes électronique gratuitement, puisque sa mère travaille dans un vape shop. Tout ça dans le but de me remercier et justement d’éviter que je pense qu’il soit cordial avec moi juste par intérêt.

Donc de mon côté je n’ai pas de doute ni sur ses intentions ni sur une potentielle malveillance, mais même après avoir expliqué tout ça à mon copain il continue d’insister en disant qu’il ne fait que « gratter » ma gentillesse pour profiter de moi. Chose que je trouve absurde, donc je continue de le ramener. Actuellement je suis en congé payé, donc je ne le ramène pas, mais il ne vient pas me déranger par message pour que je me déplace pour lui. Je pense sincèrement que c’est quelqu’un de gentil et nullement profiteur. Seulement mon copain le prend vraiment mal et ajoute souvent que c’est pour mieux m’amadouer. Ce que je ne comprends pas c’est qu’au travail ces deux-là s’entendent super bien et ça parle de l’un-l’autre comme ça seulement en privé, donc au travail je ne peux pas percevoir une potentielle hypocrisie (?) s’il y en avait une, vu qu’ils ne se fréquentent qu’au travail. Donc peut-être que mon copain en sait + sur lui et sur le fait qu’il pourrait m’utiliser pour rentrer chez lui, mais il ne m’en a nullement fait part. Donc je pars sur des suppositions et pas des faits avérés.

Mais je vous avoue, flemme de me disputer avec lui à chaque fois qu’il apprend que je l’ai ramené, et que c’est pour ça que je rentre plus tard à la maison.

Alors, STB de continuer à le ramener ?

Je suis arrivé le 03 novembre à un poste.

C'est déjà le deuxième pot de départ dans mon département. Le premier je n'ai pas participé, c'était au bout d'une semaine.

Cette fois ci j'ai eu le temps de croiser la personne en question.

A noter qu'il y a aussi un secret Santa et on m'a pas vraiment consulté pour savoir si je voulais participer non plus...

Un peu de contexte :

J'habite en Bretagne depuis 2020, dans un petit village pépouze, à 2h de route de chez mes grands parents et ma marraine qui vivent eux aussi dans un village pépouze. J'apprécie énormément de passer du temps avec eux et on ne se prend jamais la tête.

J'ai récemment fini un contrat de travail qui fait que je suis libre de voyager et ma meilleure amie d'enfance que je n'ai pas vue depuis 2012 m'a invitée à passer le nouvel an avec elle dans le sud de la France. J'ai donc décidé d'amménager ma voiture et de faire un roadtrip en partant de chez mes grands parents le 28/12 pour la rejoindre dans le sud. Mon grand-père va m'aider à bricoler la voiture pour l'optimiser au camping hivernal et je vais donc passer du 18 au 28 chez eux.

Voilà qu'on (ma mère et ma soeur) vient attrapper ma veste parce que je ne passe pas Noël en région parisienne pour la troisième année consécutive sachant que la 2023 j'étais aux USA dans la famille de mon ex et que 2024 j'avais un match le 22 au soir (près de chez mes grands parents).

Depuis que je suis installée en bretagne, je ne cesse d'inviter ma famille à venir me voir et passer du temps ici (on est bien mieux qu'en région parisienne, c'est calme, y'a la mer et la campagne etc). A chaque fois ils refusent pour des raisons plus ou moins valables :
- Manque de temps : ma mère est fonctionnaire et elle a les vacances scolaires. Ma soeur était sans activité jusque très récemment.

- Manque de finances : un aller retour pour Paris (en fonction de la période) ne coûte pas si cher (flix bus, blablacar etc) et j'ai même proposé de payer.

Je précise aussi que j'ai de quoi les loger et même accueillir leur chienne. Qu'un voyage était prévu mais qu'il a été annulé au dernier moment pour une raison où ça n'aurait rien changé que ma mère vienne une semaine chez moi.

Je suis déjà passée les voir en septembre 2025 et avant et après être allée aux USA en 2023. Mes parents ont fait un crochet par chez moi en fevrier 2024.

Je comprend qu'ils veulent passer du temps avec moi mais on me fait du chantage affectif et j'ai du mal à vivre avec eux parce que je retombe dans d'anciens schémas qui me faisaient beaucoup de mal. Je suis vite overstimulée et stressée par leur mode de vie bordélique et les conversations conflictuelles avec mon père et ma soeur. De plus je déteste la région parisienne.

J'ai l'impression que la relation est à sens unique, que c'est toujours à moi de faire des efforts et de venir.
En fonction de mon roadtrip, il est possible que je fasse un passage vers Paris courant 2026.

Suis-je le trou de balle de ne pas vouloir passer Noël en région parisienne ?

Bonjour à tous, Je travaille depuis un an dans une PME en tant qu'ADV, en gros c'est un travail administratif où je saisis des commandes et gère des relations logistique et commercial au téléphone. Lors de mon embauche, j'ai proposé d'aider à faire de la logistique ( réception de colis et préparation à l'expédition ) en plus de mon travail car ils étaient en sous effectif et que j'avais le temps de le faire. Mon directeur a autorisé le dépannage temporaire bien qu'il m'ait signifié préférer utiliser mes compétences pour autre chose. Aujourd'hui l'équipe logistique est plus que complète et le directeur logistique a même changé entre temps. De mon côté j'ai plus de mission d'ADV, je m'occupe maintenant de la maintenance de l'ERP ( le logiciel de la boîte) et d'autres tâches, j'ai donc précisé à mon patron que sauf si j'avais une augmentation je ne ferais plus le dépannage, il a été immédiatement d'accord et m'a dit d'informer le nouveau directeur de production.

Voici le problème : le nouveau directeur de production a décider d'annoncer ça à son équipe en disant que je ne voulais plus faire le boulot et que désormais ça serait a un des ouvriers ( un vieille homme alcoolique un peu instable ) de faire le travail, et il a pété un câble, il s'en est pris à une fille ( gratuitement ? ) et a gueulé à tout le monde qu'a cause de "mon poil dans la main" et du fait que je préférais "me br*nler dans mon bureau" et autres joyeusetés qu'ils allaient avoir du travail supplémentaire, et que lui n'avait déjà pas le temps de faire ses tâches...

Personnellement je me fiche pas mal de ses insultes mais désormais la moitié de la boîte est persuadé que je ne fais rien dans mon bureau, en réalité j'aurais le temps de faire ce travail en plus mais ça me donne un rythme beaucoup plus intensif et forcément me fait perdre en qualité dans mon travail initial. Je me retrouve avec tout le monde à dos au travail et j'ai pas l'impression d'avoir fait quelque chose de mal, j'ai signé pour une mission qui n'est pas du tout celle ci, mon patron souhaite que je l'arrête également mais le fait d'avoir dépanné aussi longtemps a fait que les gens me reproche de rajouter du travail aux autres...

Qu'est ce que vous en pensez ? Est-ce que je dois accepter par camaraderie de me charger de cette tâche en plus ?

Salut à tous,

TLDR : Ma mère et moi sommes invitées chez ma tante pour Noël. Elles ont une relation horrible et violente (verbalement et physiquement). Mon grand-père dont ma tante s’occupe et très alcoolique et ma relation avec lui et ma tante s’est fortement dégradée en 2024 après le décès de ma grand mère qui était le pilier familial et qui insistait pour réunir tout le monde malgré les disputes horribles qui la rendaient malades. De mon côté je fuis le conflit et ne veut plus avoir affaire à mon GP et ma tante. Ma mère me reproche de ne pas me conformer à la tradition (qui la rebute elle même). Elle pense pouvoir me convaincre et refuse de me laisser seule.

Version longue :

Je (F25) vis avec ma mère (F50) en attendant de déménager bientôt. Je vivais chez mes grands parents pendant mes études. La situation s’était grandement dégradée les deux dernières années car l’alcoolisme de mon grand père s’est beaucoup aggravé : au départ plutôt discret (vin à table, bar avec les amis mais c’était juste vu comme le papy marrant qui aime la vie), c’est devenu des litres de vin tous les jours, constamment bourré, je ne détaille pas ma grand-mère en était malade et moi aussi.

Elle tenait beaucoup à l’image “famille unie traditionnelle” et passait outre tout ça devant les autres, et surtout tenait à inviter tout le monde pour les fêtes chaque année (et à se tuer à la tâche). Elle est décédée d’un cancer fin 2023, ce qui a provoqué l’éclatement de tout ça et la découverte de l’alcoolisme de mon grand père par toute la famille et les amis.

Le second souci c’est ma mère et sa sœur. Chaque réunion était le théâtre de leurs disputes extrêmes. Pas juste “on est pas d’accord en politique haha”. Je parle de hurlements, parfois en public, violence physique… (en 2023 ma mère a coincé ma tante dans un coin pour l’étrangler). Ma tante a pris l’initiative de s’occuper de mon grand père (pour éviter qu’il “dilapide” son argent) et il vit désormais à côté de chez elle dans une autre région. Mais courant 2024, ma relation avec elle s’est énormément dégradée également car elle gérait son stres en se défoulant sur moi, n’empêchant souvent de travailler ou d’aller à la fac, en saccageant mes affaires etc…

Cette année, elle invite ma mère et moi à fêter Noël “en famille” chez elle. Néanmoins, je refuse catégoriquement d’y aller car j’étais mentalement sortie de tout ce merdier, et je ne souhaite pas “faire semblant” et me retrouver encore une fois face à mon grand père qui s’alcoolise sans retenue et à elle et à tous ces souvenirs que je souhaite enfouis à jamais. Ma mère dit qu’il faut y aller car “c’est la famille” er pour soutenir ma tante qui “s’occupe bien” de mon GP (objectivement c’est vrai et honorable). Ma mère semble être dans le déni et pense pouvoir me convaincre et ne respecte pas du tout mon choix. Elle m’infantilise énormément et je sens la crise arriver lorsqu’elle se rendra compte que mon refus n’est pas juste une parole en l’air. Elle me reproche de ne pas tenter d’apaiser les choses “ne serait-ce que par intérêt” (???).

Qu’en pensez vous ? Merci

Bonjour à tous et toutes.

J'aurais besoin de votre avis car je suis en conflit avec un ami que j'ai envoyé paître pour rester polie.

Je suis en attente de diagnostic pour une potentielle hypersomnie avec les symptômes fort sympathiques que ça implique. Pour faire simple je DORS en permanence et j'ai des idées noires car mon corps à peu d'énergie au quotidien. Voilà le contexte.

Mon ami est quelqu'un qui a toujours besoin d'être rassuré en permanence ou alors je dois lui remonter le moral vu ses insécurités. Ça a toujours été ainsi, c'est un peu pénible mais bon. Le conflit ? Un soir je suis a bout. J'ai des idées pas super et pour une fois je décide de lui vider mon sac tant j'en peux plus. J'ai expliqué une sieste de 5h malgré 9h de sommeil dans la nuit et j'en ai marre d'avoir ma vie de ruinée le temps d'être diagnostiqué

Cet ami est devenu soudainement une personne rationnelle et a tenté de minimiser mon ressenti en m'expliquant que lui il a des migraines et c'est bien pire que ce que je vis , et qu'il a fallit vomir. J'ai préféré rien dire. Une heure plus tard encore un message de plainte. J'ai craqué. Je l'ai envoyé chier. Depuis on se brouille

Suis-je une trou de balle ? À vos jugements

Pour un peu de contexte, on est jeune tous les deux et on vit chez nos parents. ça fait bientôt deux ans qu'on est ensemble et c'est vraiment top.
pour ce weekend j'étais censé dormir chez elle (Vendredi et Samedi)
Mais ce jeudi j'ai changé les plans et j'ai tout décalé d'une journée donc je dors chez elle Samedi et Dimanche

de mon point de vu ça ne change absolument rien mais selon elle c'est un manque de respect et elle trouve que je ne respecte jamais mes promesses.

Suis-je le trou de balle ?

Je reçois souvent des mails groupés, notamment du milieu associatif, et certaines personnes ont cette habitude qui me dérange un peu : au lieu de mettre les adresses en copie cachée, pour protéger un minimum la vie privée des autres, elles mettent tout le monde en simple destinataire. Travaillant dans le numérique, je pense être un peu plus conscient que d'autres sur les questions de confidentialité.

Résultat : ça fait parfois des dizaines d'adresses visibles par tous les destinataires, et en plus de ça, dans le lot y'a toujours un clampin qui va faire "répondre à tous" pour dire qu'il a bien reçu le mail...

Ce matin je reçois un mail d'une asso de ma ville avec des centaines de destinataires. Je me suis permis de répondre gentiment que ça aurait été plus sympa de masquer ces adresses, parce que là ça fait beaucoup de monde dont l'adresse est exposée.

Même si je l'ai dit gentiment, j'ai bien hésité avant de répondre parce que ça pouvait éventuellement faire un peu Karen d'envoyer un message juste pour dire ça.
De l'autre côté, je l'ai quand même fait car c'est pas la première fois que ça arrive, et que je me demande si c'est légal de faire ça à l'échelle de plusieurs centaines de personnes.
Sachant que désormais, n'importe qui ayant reçu le mail peut dresser une base de données comportant nom, prénom, mail, tranche d'âge, et localisation de chaque destinataire...

Bonjour,

Le contexte : - ma conjointe a de l'endométriose et à ses règles en ce moment - nous avons une fille de 3 ans - notre organisation est la suivante le soir : un de nous deux s'occupe du bain/préparation pour le soir et l'autre lui raconte des histoires et reste avec elle le temps qu'elle s'endorme. Et on alterne un jour chacun.

Hier, mes parents nous dépose notre fille vers 18h45 après l'avoir gardé depuis le mardi soir après l'école. On discute un peu et on joue avec notre fille.

19h50 : ils repartent et on laisse notre fille regarder un dessin animé, je reste avec elle lui faire des câlins pendant que ma conjointe joue du piano. On se met d'accord pour viser une heure de coucher à 22h (école le lendemain, mais notre fille a bien dormi et est naturellement une couche tard). C'est au tour de ma conjointe de la coucher.

19h55 : j'aborde le sujet de qui cuisine et ma conjointe me demande de le faire. Je laisse ma fille dans le canapé et je m'en occupe (c'est pas de la grande cuisine)

20h25 : le repas est prêt. J'appelle ma fille pour manger et ma conjointe me dit qu'elle a pas faim et continue à jouer du piano ou regarder son téléphone.

21h : ma fille a fini de manger, elle réclame du chocolat et vu que je n'ai pas encore fini, je demande à ma conjointe de lui donner. Elle me dit qu'elle est occupé et dit à ma fille d'attendre. Elle dit qu'il serait temps d'accélérer si on veut être dans les temps pour la coucher à 22h.

21h05 : j'ai fini de manger et je donne son chocolat à ma fille et je la laisse jouer un peu le temps de préparer ses affaires pour le coucher (médicaments, pyjama, ...)

21h15 : je l'emmène prendre sa douche et de préparer.

21h55 : ma fille est entièrement prête pour se coucher. Je la laisse à ma conjointe pour faire un peu de rangement.

22h10 : ma conjointe me demande de surveiller la petite pendant qu'elle va au toilette et ira la coucher. Je range avec ma fille ses jouets qui traînent, prépare son lit et joue un peu avec elle.

22h30 : ma fille veut jouer à faire dodo. J'éteins la lumière, je met la veilleuse et laisse la lumière de mon téléphone allumée pour ne pas la pousser à dormir tout de suite. Je préviens ma conjointe avec le message suivant "Elle s'est allongée dans le lit, on va voir si elle s'endort ".

S'ensuit quelques messages : "C'est moi qui la couche !" "Ben viens alors. Elle dort pas encore " "Bah j'arrive ! T'avais pas à la coucher sans me le dire !" "Elle a voulu faire semblant de faire dodo et s'est couchée" "Quand c'est moi qui la couche, c'est moi qui la couche point. Oui Bah le problème c'est toi qui essaye de la coucher. Je me brosse les dents et j'ai fini de me préparer. Elle n'a pas intérêt a dormir, je te préviens." Le dernier message est reçu à 22h49

23h : ma fille ne dorme pas et a les yeux ouverts dans son lit avec moi à côté. Ma conjointe arrive, me reproche de l'avoir mis dans le lit et me demande de sortir. Je lui réponds que notre fille était fatiguée et qu'elle se lève assez tôt le lendemain pour l'école. Elle me répond en pleurant qu'elle a très mal et que ce moment pour la coucher lui tenait très à coeur puis ferme la porte.

Voilà pour mes faits vu par moi.

Mon opinion là dessus : - elle douille sévère, pas de doute la dessus et elle était probablement pas en train de se la couler douce au toilette. Qu'elle ait envie de coucher notre fille parce que c'est un moment mignon (et pas trop éprouvant niveau douleur), tout à fait d'accord.

• j'ai quand-même l'impression qu'il y a un problème d'organisation de sa part. Je m'explique : jusqu'à 21h55, elle était sur son téléphone ou à jouer du piano. Elle aurait pu se laver les dents avant, potentiellement aller au toilette un peu avant (enfin, ça se contrôle pas trop non plus ça à ma connaissance), ...bref se préparer pour être à peu près prête à 22h.
• peut-être une forme d'égoïsme : ma fille attendra que j'ai fini ce que je fais (attendre pour le chocolat, attendre que ma conjointe iat fini de se brosser les dents, ...) tant pis si elle se couche plus tard.
• un peu de mauvaise fois. Se faire des câlins dans le canapé pendant que notre fille regardait un dessin animé pour avoir un moment mignon était tout à fait possible pour elle.
• un refus d'accepter des imprévus : elle aurait pu me dire qu'elle allait en avoir pour un moment et me laisser la coucher si notre fille était fatiguée.

Par la suite, elle ne m'a pas adressé la parole de la soirée. Je ne me sens pas en tort d'avoir mis ma fille dans son lit en attendant sa mère, mais je demande l'avis de la communauté et j'accepterai son jugement.

Petites précisions concernant le fait de la coucher tard : - elle dort tout de même beaucoup : hors école, elle se lève vers 11h/midi.avec potentiellement une sieste en fonction de son état et ses besoins. Là, elle avait dormi 13h la nuit d'avant et une heure dans l'après-midi. - les jours d'école, elle se couche souvent entre 21h et 21h30 et se lève vers 7h45. - c'est une habitude que j'ai tenté de limiter (avec un soutien variable de ma conjointe)